Il fait beau, les oiseaux chantent et on aimerait bien vous parler des choses merveilleuses que le numérique fait pour nous…
Mais malheureusement l’actualité nous rappelle que le numérique est encore bien jeune, que les experts ne sont pas tous bien intentionnés, et que trop d’utilisateurs encore ne sont pas prêts à faire leur transition numérique.
Alors, restons groupés, on va parler 5 minutes cybersécurité, cybernews et auto-formation.
D’abord, déculpabiliser…
Nous sommes désolé de vous l’apprendre (ou de vous le répéter…) mais le phishing ou hameçonnage, bref la-pièce-jointe-infestée-sur-lequel-on-clique-par-mégarde c’est d’abord un humain qui n’a pas vu qu’on était en train de lui voler sa mobylette alors qu’il était assis dessus. En d’autres mots, quelqu’un qui ne sait pas faire la différence entre un courriel légitime et un courriel illégitime.
On peut extrapoler et se demander : « Cette personne saura-t-elle faire la différence entre : un site de paiement sécurisé ou non-sécurisé ? Un site web légitime ou une copie ? Une information réelle et une FakeNews ? »
Et cela s’explique tout à fait puisque :
- Lors de la formation initiale de cette personne, l’écosystème numérique tel qu’on le connait aujourd’hui n’existait pas.
- Il a sûrement mieux à faire : je pense par exemple à un dirigeant d’entreprise type PME/TPE qui assure à la fois les postes de RH, commercial, manager, chef de projet, psychologue, community manager, … et j’en passe.
- Le numérique, ça ne l’intéresse pas du tout. Mais alors PAS DU TOUT !
Ainsi lorsqu’un virus informatique se propage il y a bien des coupables, mais est-ce leur faute ? Si on ne vous explique pas comment vous protéger de la grippe, et comment ne pas la transmettre, est-ce votre faute si vous vous contaminez votre famille lorsque vous les embrassez ?
Une chose est sûre, plus le temps passe et plus l’écart entre certaines personnes et le numérique s’agrandit. Avec des conséquences qui peuvent être dramatiques, de l’ordre de WannaCry, le ransonware infiltré dans les systèmes de grandes entreprises, ou de ceux que qui ciblent les PME/TPE et dont en entend épisodiquement parler. Autre exemple, et non des moindre, au début de ce mois encore, Google stoppait une attaque de phishing.
Alors, que faire ? Retourner à l’école ?
J’en vois déjà qui veulent passer à une autre lecture. Hop! Hop! Hop ! Revenez par ici !
Non, justement. Car il y a DEUX grandes étapes entre une personne et la formation : l’évaluation et l’auto-formation.
La première consiste à identifier les carences : parce qu’il y a une différence entre « nul en informatique » et « en connait assez pour s’éviter des ennuis », entre « ne pas s’intéresser à internet mais quand même suivre cela de loin » et « ne pas savoir faire une recherche sur internet », etc, avec des conséquences différentes en termes de sécurité pour l’entreprise et de capacité à s’orienter dans l’offre d’information.
La deuxième étape consiste à combler ses lacunes tout seul comme un grand : c’est l’autoformation.
Bon, nous avons bien évidemment une proposition pour vous aider dans ces deux étapes.
Mais quelle est cette recette miracle ?
Ici les ressources se suivent, ne lasseront pas vos collaborateurs, ne les perdront pas; c’est une vraie première réponse taillée sur mesure.
Vous connaissez peut-être déjà TANu le test de Universel culture numérique ?
TANu permet de rendre compte, en 90 questions et 30 minutes, de la culture, de la curiosité et de l’appétence d’une personne pour le numérique. Le tronc commun du test porte sur l’informatique, internet, les réseaux sociaux, les technologies, et l’économie numérique. Pour info, le test coûte entre 5 et 10 € HT, en fonction de la quantité que vous achetez, sans volume minimum * (*offre réservée aux entreprises, plus d’info sur le site www.tanu.io). Autant dire que toutes les entreprises peuvent se l’offrir.
Prenons un cas pratique : Imaginez que vous êtes un(e) chef(fe) d’entreprise.
Bien. Vous voulez éviter que votre PME ne soit infiltré par des virus informatiques de tout bord. Vous avez à peu prêt confiance dans vos anti-virus et autre pare-feu, mais quid de vos collaborateurs ? Vous décidez de leur faire passer le TANu.
Pour cela, vous ouvrez un compte entreprise, vous envoyez vos invitations à passer le test. Vos collaborateurs passent le test (en ligne), et reçoivent leur passeport (fiche de résultat) ainsi que leurs scores dans les différentes catégories testées. L’entreprise reçoit également ces informations.
Lorsque le test se termine, nous proposons à vos invités de cliquer sur « Pour s’améliorer ». Ceci les amène sur notre plateforme intitulée l’École par TANu constituée de ressource pour progresser (vidéos, podcasts, rubriques de journaux, MOOCs,…). Les ressources qui ont été glanées sur le net, et choisies par nos experts, sont proposées en fonction des scores obtenus, et sont classées par indice de progression pour vos invités.
Pourquoi TANu et son École aident vraiment même si nous ne donnons pas dans la formation pure et dure ?
Parce que lorsque quelqu’un veut se cultiver dans les domaines numériques, il ne sait souvent pas trop par où commencer : une vidéo trop simpliste le lassera, un cours trop compliqué le perdra et lui fera perdre son temps. On se perd sur internet. On sait bien que tout y est, mais chercher prend déjà un temps fou, et quand on ne sait pas quoi chercher… Dans l’École part TANu, les ressources se suivent, ne lasseront pas vos collaborateurs, ne les perdront pas; c’est une véritable première réponse à un besoin d’acculturation, taillée sur mesure.
Pour l’entreprise qui voudrait aller plus loin, et qui souhaiterait entrer dans la phase 3, c’est à dire celle des formations nous avons épluché quelques catalogues et tentons de vous conseiller au mieux dans le menu « Formation » de l’École. Sur ce sujet vos retours d’expérience sont précieux, alors n’hésitez pas à nous tenir informés.
Mais pourquoi parlait-on de ça déjà…
Ah oui !
Et bien, aux 170-et-quelques ressources déjà proposées dans l’École, nous avons ajouté ces nouvelles vidéos et ce document qui ciblent la cyber-sécurité et la cyber-information.
Bien d’autres suivront !
- Trois conseils pour débusquer les photos mensongères sur internet – Le Temps.ch
- La vérité sur WannaCry – Micode